Terres en culture1			Terres agricoles2
	20173	2018	2019	2017	2018	2019
Bas-Saint-Laurent	5 534	6 113	6 029	4 446	6 051	5 273
Saguenay–Lac-Saint-Jean	7 499	7 339	7 570	5 275	4 508	5 503
Capitale-Nationale	8 885	9 437	13 083	6 777	10 303	9 494
Mauricie	14 928	16 806	17 177	12 794	15 088	13 789
Estrie	-	-	-	5 265	6 805	8 386
Outaouais	-	-	-	4 584	4 238	5 038
Abitibi-Témiscamingue	2 478	1 792	2 082	1 663	891	1 439
Chaudière-Appalaches (nord)	8 549	12 180	12 653	8 492	8 319	8 926
Chaudière-Appalaches (sud)	-	-	-	9 078	8 010	10 560
Lanaudière	29 822	29 527	33 652	24 664	24 432	29 772
Laurentides	-	25 758	28 590	22 746	15 718	22 280
Montérégie (est)	34 428	36 098	39 667	27 824	31 328	33 198
Montérégie (ouest)	37 013	36 125	36 129	28 066	29 732	31 876
Centre-du-Québec	19 140	18 819	23 237	13 193	14 370	16 050
Le Québec	21 265	22 694	24 237	14 547	16 685	17 707

1. Les terres en culture sont les superficies cultivables, transigées sans bâtiments. De plus, elles ne comprennent pas les pâturages, les vergers, les érablières et les boisés.

2. Les terres agricoles regroupent, en plus des terres en culture, toutes les autres superficies agricoles, dont les pâturages, les vergers, les érablières et les boisés. Pour les transactions de terres comportant des bâtiments, seule la valeur attribuable aux superficies est retenue, celle des bâtiments étant retranchée de la valeur totale de la transaction.

3. Valeur moyenne mise à jour à la suite de la compilation additionnelle de transactions.

Notes : Les données présentées dans cette publication portent sur des transactions de terres agricoles compilées et analysées par La Financière agricole du Québec. Ces transactions concernent les ventes de terres agricoles réalisées dans des conditions normales.

Ces données concernent un ensemble de transactions comportant des valeurs très différentes selon les caractéristiques des superficies transigées (localisation, type de sol, usage, etc.). Les données présentées fournissent une information sur l’ordre de grandeur et l’évolution générale de la valeur des terres dans une région donnée ou à l’échelle du Québec, et ne peuvent être utilisées pour déterminer la valeur d’une terre en particulier.

Un minimum de huit transactions par région est nécessaire annuellement pour présenter l’information détaillée à l’échelle régionale.

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